Le but du CISPD est d’apporter « des réponses multiples aux problèmes de sécurité et de renforcer la prévention, allant de l’accompagnement des familles à la gestion concertée des troubles à la tranquillité publique autour d’un large partenariat entre les villes, l’institution judiciaire, la Gendarmerie nationale, l’Éducation nationale, les transports scolaires, les bailleurs sociaux, les commerçants, les habitants, les services sociaux, le secteur sanitaire et social et le champ associatif »

Extrait de la Stratégie territoriale de sécurité et de prévention de la délinquance de Bain-de-Bretagne, Crevin, Grand-Fougeray et Pléchâtel 2019-2022

 

L’association de ces quatre villes a permis en outre d’atteindre le seuil de 10 000 habitants, soit 15 517 habitants[1] , seuil minimum recommandé par l’État pour la création de ce type d’instance partenariale.

2021/2022 a vu les premières actions du CISPD voir le jour à travers un programme centré sur la prévention des violences entre pairs en partenariat avec les services de l’Éducation nationale (DSDEN, Direction des services départementaux de l’Éducation nationale, et les IEN, Inspecteurs/trices de l’Éducation nationale en charge des Premiers et Seconds degrés) :

  • conférences, expositions et film à destination des parents, habitants et agents des villes
  • actions dans les établissements scolaires des quatre villes,
  • spectacles et théâtres-forum pour engager le débat sur ces questions…
Plus de 15 actions d’information, de sensibilisation et de prévention ont ainsi été mises en œuvre sur Bain-de-Bretagne, Crevin, Grand-Fougeray et Pléchâtel.

Voir la présentation détaillée de l’action

PROJET violences entre pairs

Depuis, deux autres villes du territoire ont été intégrées à leur demande par le sous-préfet : Le Sel-de-Bretagne et Pancé.

D’autres ne manqueront pas de les rejoindre tant le besoin se fait sentir à l’échelle du territoire de mettre en œuvre des actions pour mieux prévenir et encadrer les phénomènes de délinquance.

Si les actions 2021/2022 ont été centrées sur la problématique du harcèlement entre pairs, celles de 2022/2023 (en construction) le seront sur celles des violences intrafamiliales.

Ces actions à destination des mêmes publics (habitants, parents, agents des collectivités, enfants et jeunes scolarisés) sont, pour l’instant, entièrement financées par les budgets municipaux. Elles viennent en complément de ce que chacune des villes met en œuvre à travers leurs CCAS (Centre communal d’action sociale) lorsqu’ils existent, leurs politiques associatives et préventives propres.

[1] Sources : base nationale sur l’intercommunalité / banatic.interieur.gouv.fr, mise à jour le 01/10/2018 pour les 4 communes : Bain-de-Bretagne (7 503 habitants), Crevin (2 743 habitants), Grand-Fougeray (2 502 habitants) et Pléchâtel (2 769 habitants).

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